[Gadjo Astroll - quête principale numéro 2] Un chasseur sachant faire des commissions.

Fort de ce que vous avez à faire, c'est avec une liste bien remplie que vous partez dans les rues d'Elyamundis. En vérité vous ne savez pas ce que vous allez devoir prendre. Il n y a que les adresses et noms des clients sur ce bout de papier. Sûrement savent-ils pour vous, et c'est pour le mieux. Votre bourse en poche, vous devez donc vous rendre à [b]Cinq adresses différentes, disséminées aux nombreux lieux de la grande Elyamundis.

Voici les adresses inscrites sur le bout de papier :

Citation :: 140 chemin des colombes - Marcel Mayer

6758 Boulevard d'Elya La Grande - Isabelle Josephine

34 Allées des rosiers - Demont Rivemare

Local C milice d'Elyamundis - Räj Jahnar

Maison du fossoyeur du dernier cimetière - Rodolphe Brümen

Vous qui ne connaissez pas la ville, vous aurez très certainement besoin de demander aux gens pour pouvoir vous repérer. Certaines adresses semblent plus simples que d'autres, car plus précises sur les endroits où vous devez vous rendre.

Gadjo regarda la liste, l'air quelque peu absent, il était pas reveillé le tigre. Il baille et décide de commencer le plus tôt possible. Plus vite il aurait fini, plus vite il pourra glander.

Autant commencer par le commencement, il allait voir ce certain Marcel Mayer au "140 chemin des colombes" C'était quoi cette adresse? On aurait dit l'adresse d'un petit village perdu dans un pays inconnu. Bref...

Il fallait trouver cette adresse, c'était son boulot. Le tigre se dit que dans les commerces ils devaient s'y connaitre. Les commerces savent tout sur la ville et de leur clients généralement. Gadjo commença par entrer dans une boulangerie et demanda ou se trouvait la première adresse.

Saviez vous ou je peux trouver le 140 chemin des colombes, s'il vous plait?

La boulangère, qui lève la tête, surprise de voir l'arrivée d'un tigre massif en short, reste assise sur sa chaise et attend la suite des événements. Sans doute pense t-elle que vous allez dévaliser tout son magasin et dévorer chacune de ses pâtisseries gloutonnement. Peut-être bien que ça vous tente réellement, en vérité, mais vous n'êtes pas ici pour cela. Vous n'avez de toute façon pas les pécules nécessaires pour vous nourrir convenablement.

Tandis que vous demandez le nom de la rue à la commerçante, celle-ci penche doucement sa tête et réfléchit quelques instantes. Le chemin des colombes ... Mais où diable cela peut-il bien être ... Lorsque d'un seul coup, elle tend le doigt vers le plafond, signe qu'elle a compris la demande, et vous dit alors :

- Ah, oui ... Vous devez très sûrement parler de l'impasse se situant dans la rue de la colombe ... Allez là-bas, et vous devrez trouver ce que vous cherchez. Je vous souhaite que ce soit ça, car sinon je ne sais pas. Elyamundis est grande.

Fort des informations que vous possédez, et suite à une longue explication, vous décidez de vous engager dans la ville, jusqu'à trouver La rue de la Colombe , se démarquant elle-même en deux impasses faites en "T", le chemin de la Colombe étant celui de droite.

Gadjo après avoir pris en note les informations qu'il voulait entendre, au lieu de se jeter sur la boulangère et lui voler ses délicieuses pâtisseries, comme elle s'y attendait, fit une courbette polie avec son sourire un peu absent.

Merci beaucoup madame.

Gadjo regarde alors la vitrine, sa bourse et... Jugea qu'il avait assez d'argent pour s'acheter quelques trucs bons (sa paye de la veille quand même, pas l'argent qu'on lui avait confié, faut pas déconner, c'est un gars sérieux l'Gadjow)

Et je voudrai ça, et ça et encore ça et puis ça et enfin ça !

Une fois ses achats fait et un éclair au chocolat dans la bouche qu'il dégustait tranquillement, il se dirigea vers l'allée des colombes, jusqu'à son adresse. La bouche encore pleine, il frappe à la porte.

Les mains pleines de gâteaux, vous tapez donc à la porte de la maison du chemin des colombes. Plus facile à dire qu'à faire cela dit, puisque vous avez de la nourriture plein les mains. Après plusieurs secondes d'attentes, un homme courbé à qui il manque quelques dents sort et vous inspecte de haut en bas. Il ouvre alors les yeux plus intensément et s'exclame qu'il ne reçoit pas de la visite tous les jours. Vous lui expliquez donc le pourquoi de votre affaire et l'homme acquiesce avec force :

- Ouais, ouais, t'es le p'tit gars que le patron a envoyé hein. Ok, j'ai déjà le matos, attends moi là quelques secondes.

Se retournant, l'homme vous claque la porte au nez et, comme promis, revient quelques secondes plus tard, un fusil de chasse dans les mains, ce qui ne manque peut-être pas de vous effrayer. Vous le tendant en souriant, il déclare d'une voix forte et non imprégnée d'humour !

- Avec ça, p'tit gars, tu devrais pouvoir en trouer du bon gros gibier ! Essaie de pas enlever la sécurité, il est chargé.

L'homme ferme ainsi la porte une fois de plus pour ne plus la réouvrir. Il vous reste trois adresses à visiter.

Gadjo se demandait pourquoi le propriétaire lui avait demander de ramener un grand fusil encore chargé. D'ailleurs, celui ci lui glissa des mains, tomba et tira... Tuant une oie sauvage qui tomba juste devant ses pieds.

...

Il hausse les épaules, prit l'oie morte par dessus son épaule avec le fusil et parti en sifflant, ça fera son repas de midi tiens. C'était l'heure d'aller à la seconde adresse. Sur le chemin, il croisa un petit couple de jeune gens très mignon. Il s'approcha d'eux et arriva en face avec son sourire le plus amical possible. Oubliant ses patisseries, son fusil et son oiseau mort sur l'épaule.

Excusez moi, pouvez vous me dire ou est le 6758 Boulevard d'Elya La Grande?

Le couple que vous interpellez vous observe comme une bête de foire. Faut dire que vous vous baladez en ville à moitié nu, avec un fusil et une oie morte sur l'épaule. Qui n'aurait pas réagi de cette façon en de pareilles circonstances ? Quoi qu'il en soit, les gens à qui vous le demandez vous montrent le nord. Il semblerait que le boulevard soit en vérité une des grandes places de la ville. Le numéro indique celui d'un grand immeuble luxurieux.

Y allant, vous décidez de sonner à la porte, à l'interphone plus précisément, jusqu'à ce qu'un petit craquement sonore vous indique que l'on vous écoute. Expliquant les raisons de votre venue, vous montez donc au cinquième étage et attendez devant la porte.

Une jeune femme, pas vraiment jolie, mais surement très riche, ouvre la porte et vous sourit :

- Je vois, vous êtes donc l'employé de ce très cher Norbert ? Vous m'avez l'air plutôt bien portant ... Enfin. Tâchez de ne pas perdre ce que je vais vous donner, cela m'a coûté cher.

La jeune femme vous tends deux billets d'avion pour le continent Innocent, se trouvant à plusieurs milliers de kilomètres d'ici, et referme la porte, vous laissant pantois.

Gadjo se retrouve de nouveau devant une porte fermée sans aucune information de plus. Avec deux billets d'avion pour le continent Innocent, alors il avait un fusil et deux billets, ça sera quoi la prochaine fois? Une peau de bête? Brrr...

Bref, il devait aller au prochain endroit, et après, il allait poser ses affaires au bar et penser à s'habiller de manière un peu plus décente. Car pour tout dire, se balader à moitié nu en pleine ville, c'est pas vraiment cool.

Il trouva la troisième adresse et frappa à la porte, espérant que ce soit pas encore un type bizarre. Bien que rien n'est moins sur, vu que cette ville était étrange. Et dire que c'est lui qui est bizarre aux yeux des gens. C'est presque de l'hypocrisie.

Je me demande si les gens sont comme ça à Furrya.

Arrivé à la troisième adresse, le 34 allée des rosiers, non loin de là où vous vous trouviez avant, vous frappez à la porte et attendez de longues secondes. De très longues secondes. C'est presque comme s'il n y avait personne dans la demeure. C'est peut-être le cas. Frappant une nouvelle fois, vous entendez un bruit ressemblant au fracas d'un vase contre le sol et un "J'ARRIVE !" tonitruant vous parvient de derrière la grande porte en bois devant laquelle vous patientez. Un asiatique ouvre violemment la porte et vous regarde de haut en bas, avant de refermer la porte sans autre forme de procès. Peut-être êtes vous indigné de ce comportement, mais vous n'en avez pas le temps, car l'homme rouvre la porte d'entrée et vous donne un grand sac à dos en métal, qu'il peine à porter, orné de deux bonbonnes remplies à craquer d'un liquide bleu azur suintant.

- Ceci est tranquillisant très haute qualité ! Pour facture veuillez l'adresser à Demont Rivemare merci beaucoup !

Ne vous laissant même le temps de parler, l'homme referme la porte et vous laisse là. Il ne vous reste que deux adresses à visiter. Le local C de la milice et le cimetière neuf.

Encore une fois, Gadjo a eu encore une porte claquée au nez. Et pour tout dire ça commencer un peu à le gaver, mais pas dans le bon sens du terme avec du poulet frit. Finalement, il fit demi tour et retourna vers l'auberge, pas qu'il voulait abandonner, mais il devait aller dans une caserne avec des gens travaillant dans les forces de l'ordre.

Pas question de se rendre dans cet endroit seulement vêtu d'un pagne, vous voyez bien.

Il frappa à la porte de l'auberge et mit sur le comptoir avec précaution les trois premières choses qu'il avait rapporté. Le fusil, les billets et le tranquillisant. Puis il regarda son patron avec ses yeux un peu endormis comme d'habitude et demanda :

C'est possible d'avoir des vêtements? Je fais peur aux gens en pagne...

Le patron, qui lavait un verre, vit Gadjo entrer et déposer soigneusement les premières affaires et lui demanda avant toute chose de les emmener dans la cave, à l'endroit où c'était indiqué, puis réfléchit. Il n avait évidemment pas d'habits à sa taille mais au vu du travail qu'il faisait, peut-être que cette contrainte pouvait être parée. Le patron de l'auberge lui dit alors :

- Bon, je vais demander à mon tailleur de te faire des vêtements sur mesure. Laisse moi prendre ta taille ...

Le patron prit votre taille grâce à une mètre et nota ce qu'il avait trouvé.

- J'ai prévenu les deux personnes qu'il te reste à voir, elles savent que même si tu es en pagne, tu es mon employé, donc ne te fais pas de souci. Allez, va. Combien te reste-t-il d'argent ? Ah, je vois que tu en as dépensé un peu pour toi ... Je le retirerai de ton salaire. Maintenant file.

C'était la moindre des choses, cette boulangère m'a donné la direction à suivre, j'pouvais pas partir sans lui acheter quelques pâtisseries, nan?

Bon, il avais pris un tiers des marchandises en fait, mais faut pas l'dire...

Bref, c'est de nouveau en pagne que Gadjo sortit de l'auberge les mains vides. Au moins il aura des vêtements sous peu. Il espérait que ce soit des jolis vêtements, je veux dire, c'est pas parce que c'est un furry costaud avec des poils qu'il a des gouts de cuvette de toilettes.

Bref, la prochaine destination était la caserne, et cette fois, plutôt que frapper, il entra directement, voulant pas se faire frapper la porte au nez cette fois.

Est ce que monsieur Räj Jahnar est ici?

Autour de vous, de nombreux soldats virils s'entraînent quotidiennement pour se préparer à diverses catastrophes telles que des guerres, ou des invasions de zombies ... Ce genre de choses. C'est toujours mieux que de flemmarder à la taverne. On peut dire cependant que vous ne passez pas vraiment inaperçu. Marchant dans la milice, vous vous décidez enfin à demander si monsieur Räj Jahnar est ici.

Tout le monde cesse son activité et vous regarde. Il ne vous faut pas plus de quelques secondes pour vous retrouver entourés d'épées et de lances. Levant les mains, ne comprenant pas ce qu'il se passe, le chef du local C, un homme barbu et fort grand, arrive et vous dévisage :

- Alors c'est vous qui devez rendre visite au prisonnier ? Bon, vous n'avez pas l'air vraiment dangereux. De toute façon on a été prévenu de votre visite. Un proche du meurtrier ? Je me demande comment vous pouvez encore le regarder sans avoir honte ... Mais bon. Je ne comprendrai jamais les furrys.

Les lances se lèvent et le garde ouvre la porte menant à la prison.

- Vous avez cinq minutes, et vous serez surveillés. Pas d'écarts !! Ou sinon ...

Le chef du local imite le mouvement de pouce d'un poulet qu'on égorge et pointe la porte du doigt. Vous y engouffrant, soudainement peu sur de vous, vous tombez nez à nez avec une geôle pourrie et noire, où est assit un furry panthère mince, habillé de haillons et enchaîné au mur, un boulet au pied. Vous approchant, il vous dit alors :

- Qui êtes vous ? Un furry ? Comme c'est rare, ici ... S'il vous plait, quel jour sommes nous, et quelle heure ? Oh, et puis ce n'est pas important. Je serai executé dans peu de temps de toutes façons. Il paraît que c'est ma punition pour avoir violé et éviscéré cette jeune pucelle ... Aaaah ... Ca en valait le coup, crois moi ...

Une lueure inquiétante brille dans ses yeux opales.

- Je parie que tu es envoyé par quelqu'un pour me soutirer des informations sur ... le truc que j'ai planqué. Héhé. Il est fort probable que j'aie caché quelque part ce que tu recherches. Une carte ... détroussée à un aventurier dont je me suis régalé des intestins ... MIAM ! J'ai faim ! Grrr ... Tu veux la carte ? Vas y, cherche là ... Elle est quelque part ... dans les plaines. Le cerisier montre l'endroit, et il n y a que le soleil couchant qui te donnera la direction.

Il s'arrête un instant et murmure ...

- S'aventurer dans les plaines la nuit ? MAIS IL FAUDRAIT ETRE FOU ! GNAHAHAHA !

Le criminel sombre alors dans la démance, et le garde soupire :

- Les cinq minutes sont terminées, veuillez remonter je vous prie.

Vous remontez donc.

Bon apparement, là il ne devait pas ramener quelque chose, mais plutôt soutirer des informations... Alors... La carte... La cerise? Euuuuh... Il avait rien compris, et... Le problème c'est que ce mec le dégoutait en fait, il avait quand même massacrer une pucelle... Mais il avait besoin d'une nouvelle vie ! Et dès fois, il fallait mettre un peu sa moralité de côté pour sa survie... Et lui, il voulait pas qu'il meurt maintenant.

C'est quand que vous vous faites exécuter?

Peu après, il sortit de la caserne, un plan en tête. L'idée le dégoutait, mais bon, il fallait se salir les mains de temps en temps. Il parti alors pour la dernière destination, et ensuite il retournera voir l'aubergiste.

Le garde vous indique qu'il sera exécuté demain soir au soleil couchant, soit à 18h30. Vous partez donc de la caserne avec cette information dans le creux de l'oreille, quoi que vous ayez décidé de faire. Il vous reste un lieu à visiter et donc un objet à récupérer, que vous devrez ramener à votre patron. Quand à cette information eh bien ... Si vous ne la comprenez pas, autant réussir à l'obtenir d'une autre manière. Il semblerait cependant que vous ayez une dangereuse idée en tête.

Gadjo n'était pas vraiment sur de son coup, et il aura certainement besoin d'aide si il fallait le faire. Et c'était surement dangereux, mais bon, dans la vie, si on reste toujours dans les lignes parfaites de la société même quand on est au pied du mur. Autant se jeter dans une rivière tout de suite.

Bref, il devait aller voir la dernière personne, espérant que comme la caserne, il n'aurait pas de porte sous le nez qui se verrait claquer avec violence sur son museau fragile.

Arrivé à la dernière porte, il frappa et attendit une réponse.

C'est l'employé de l'auberge de la bonne barbaque, vous pouvez m'ouvrir, et éviter de me claquer la porte au nez?

Vous vous dirigez donc vers le nouveau cimetière d'Elyamundis. Celui qui n'est pas infesté de zombies. Tant mieux. Allant devant la cabane du fossoyeur, vous frappez à la porte et celui-ci ouvre après quelques secondes. Il semble vieux et bossu. Torse nu et laid. Edenté et suspect. Pourtant, c'est en vérité un homme très aimable et bon. Mais vous ne le verrez peut-être pas du premier coup. Cet homme ne vous claque pas la porte au nez, mais se retourne en direction d'une commode, vous montrant les pustules dans son dos squelettique,et fouille avec vigueur l'armoire qu'il a ouvert, avant de sortir une grande fiole emplie d'un liquide rose et dorée, qu'il vous remet :

- Et voilà mon grand. Du bon mojo extrait sur les monstres des alentours. Avec ça sur le corps, vous allez attirer toute la vermine dont vous aurez besoin, ouais.

Vous saluant, il ferme doucement la porte, tandis que le soleil se couche sur le cimetière.

Ah voila, enfin une personne polie et sympathique ! Gadjo eu un petit sourire et se dirigea rapidement vers l'auberge, le dernier truc en poche en main qui pose sur le trottoir.

J'ai terminé !

Il s'assit sur le comptoir attendant l'aubergiste. Maintenant, exposer son plan, libérer le condamné à mort pour qu'il mène là ou se cache le trésor. Car Gadjo n'était pas si expérimenté que ça en tant que guerrier. Et que à ce qu'il avait compris, les lieux étaient dangereux, et le jeune tigre avait pas vraiment envie de risquer sa vie pour rien.

Il espérait juste que l'aubergiste allait être de son avis.

Le patron vous observe et prend le mojo en souriant, allant le ranger à la cave avec les autres choses que vous avez rapportées. Revenant, vous lui expliquez alors la situation et l'homme se gratte la tête quelques instants, avant de rétorquer que ça va être dangereux et que rien n'est moins sûr pour la réussite.

- Néanmoins ... Puisque nous allons être emmenés à partir ... Eh bien pourquoi pas. Une carriole se trouve dans le garage derrière l'auberge. Emmène tout le bazar à l'intérieur, et retourne à la cave. Nous allons prendre la machine que je t'ai montré la dernière fois ainsi que les cuves. Quand à demain ... On va s'organiser.

[Gadjo Astroll - Quête principale numéro 2] Un chasseur sachant faire des commissions. - Terminé !

Vous obtenez 500 points d'expérience !

Vous montez au niveau 2 !

Vous obtenez 5pv, 5 points de stat et 1 point de skill.

Vous obtenez 200 golds.

» [Gadjo Astroll - Quête principale numéro 1] Heureux les simples d'esprits.
» [Gadjo Astroll - quête principale numéro 3] L'évadé du fou, rire jaune et soleil couchant. Chyène de vie.
» [Yrelith - Quête principale Numéro 1] - Envol salvateur
» [Beorf - Quête principale numéro 3] Excavation périlleuse.
» [Dirjil : Quête Principale numéro 1] : Ombre d'une destinée

[Gadjo Astroll - quête principale numéro 2] Un chasseur sachant faire des commissions.

[Gadjo Astroll - quête principale numéro 2] Un chasseur sachant faire des commissions.

Sujets similaires

Sujets similaires