Partir. Partir. Partir loin de chez vous, de plus en plus loin, et le plus rapidement possible. Telle est votre résolution, alors que ce bateau marchand, qui avait gentiment accepté, quelques jours plus tôt, de vous emmener loin de Besteha, et même loin de Furrya, vous dépose à la sortie de la grande ville d'Elyamundis, grâce à la rivière traversant la traversant, et donc grâce aux canaux qui permettent au bateaux de naviguer jusqu'au cœur de la cité.

- Et merci d'avoir récuré le pont, mon grand, il n'a jamais été aussi brillant ! Tu peux r'venir quand tu veux ! vous dis le vieux loup de mer, tandis que vous vous éloignez, lui adressant un dernier signe en vous grattant le ventre.

En Elyamundis, il n y a pas énormément de Furrys, mais cela ne devrait pas être un problème pour vous.

Vous avez le choix d'entrer dans la ville ou de continuer votre chemin dans les plaines de Mundis. Il est dix heures du matin. Vous devez savoir qu'à la nuit tombée, des morts vivants hantent ces plaines, il n'est donc pas bon de s'y aventurer. Quand à la ville d'Elyamundis, de nombreuses auberges vous y attendent, ainsi qu'une multitude de petits travail vous rapportant monnaie sonnante et trébuchante, au prix d'efforts équivalents. Sachez par ailleurs que demain se lèvera le festival quadriennal en l'honneur du Dieu de l'Ordre. Une grande occasion pour vous de faire la fête, si vous décidez de rester.

Le tigre s'étira en poussant un soupir. Il avait mal partout et son estomac criait à la maltraitance, il avait tellement vomi par dessus bord pendant le voyage....

Lui et la mer ça faisait deux...

Il avait quitté tout ce qu'il avait avant, sa famille, ses amis, et ses connaissances, de toute façon, après son humiliation public, plus personne n'avait envie de lui adresser la parole.

Deux choix se posaient au jeune tigre, soit partir vers l'inconnu, c'est à dire dans la direction de la plaine, soit aller vers la ville et son agitation coutumière. Et pour tout dire, le choix ne se fit pas attendre, Gadjo avait envie d'une bonne bière, d'un bon repas et d'une bonne paillasse sur la terre ferme. On verra une autre fois pour l'aventure, pour l'instant Gadjo voulait se reposer quelques temps.

Il fit aussitôt direction vers la ville, sa main grattant négligeament ses hanches. Il y avait de l'agitation dans ces quartiers, se préparait il quelque chose? Peut être que Gadjo pourrait se faire un peu d'argent, ou alors s'amuser un peu?

Il alla vers un groupe d'homme qui semblait fort joyeux.

Excusez moi, Messieurs, mais pouvez vous me dire quelle est toute cette foule?

(n'oublie pas de générer ta feuille de personnage et d'y inscrire tes informations !)


Hein ? Quoi ? Toute cette foule ? Mais enfin, tu ne sais pas quel jour on est ?

Vous répondez par la négative. Et pourtant vous devriez le savoir, puisque votre pays est le premier à fêter ce grand événement ...

Demain, c'est le festival quadriennal en l'honneur du dieu de l'Ordre, eh, gros balourd !

Le groupe d'homme part en riant, et vous constatez en levant les yeux qu'effectivement, l'ambiance semble être à la fête. Ballons, décorations, et tout le tintouin ! Que dire ! C'est beau.
Marchant dans l'avenue principale d'Elyamundis, une immense montée gorgée d'étals et de magasins, vous vous dirigez on ne sait où, à la recherche d'une auberge, d'une personne à aider ... De tout ce qui pourrait vous tomber sous la main, en somme !

Un ballon rebondit sur votre pied.

Eh m'sieur ! Vous nous rendez la balle s'iouplait ? crie un enfant de l'autre côté de l'avenue en vous faisant signe.

Vous lui renvoyez avec grand plaisir mais ...


Dé d'événement (1;2) > Si inférieur à 2, un événement se produit !

Nombre aléatoire (1,2) :

2

Maiiiis ... Non, vous avez de la chance ! Un tir parfaitement exécuté, et un ballon bien renvoyé ! Aussi, vous reprenez votre marche. Face à vous se trouve de nombreuses auberges, dont une particulièrement jolie, et dont le nom vous plait fortement :

AUBERGE DE LA BONNE BARBAQUE

Vous pouvez y entrer, sinon passer votre chemin. Continuer de longer l'avenue vous emmènera à la caserne de la milice d'Elyamundis, ainsi qu'à l'ancienne église de Blacksun.

Oh... J'ai complètement oublié... Avec tout ça...

Il nota pas la "boutade" on va dire, de l'homme qui lui a répondu, de manière peu courtoise on va dire avant de partir avec ses amis. Il avait tellement entendu ce genre de remarque tout au long de sa vie pour ne plus y faire attention.

Il continua alors son chemin tranquillement, regardant tout ce petit monde qui travaillait pour que la fête soit une grande réussite. Hommes, femmes, enfants, tout le monde s'y mettait. Il pouvait voir un homme qui criait des instructions à d'autres hommes, une mère et ses huit enfants qu'elle menait à la baguette comme une maman canne traversant la route. Plusieurs jeunes gens étaient sur des échelles pour accrocher de longues banderoles. Il y avait beaucoup bruit, surtout des cris mêlés à des rires et des pleurs d'enfants la plupart du temps.

Un ballon heurta son pieds, le tigre se retourne, plusieurs petits garçons lui faisait signe et lui demandait de leur rendre leur ballon. Gadjo sourit, ramasse le ballon et leur renvoya sans heurt, les petits le remercièrent et partirent jouer dans leur coin. Gadjo lui tourna la tête et aperçu une auberge avec un nom accrocheur : "AUBERGE DE LA BONNE BARBAQUE" Le tigre fouilla dans ses poches et sorti quelques deniers, suffisant pour boire un verre et se détendre, mais certainement pas pour se payer une chambre.

Mine de rien, il y entra. Il avait besoin de boire un peu et détendre ses jambes, il sortira ensuite pour essayer de gagner quelques sous. Il ignora les quelques badauds qui le regardaient et alla s'asseoir directement au comptoir, malgré une chaise qui grinça un peu. Il présenta ses quelques pièces au barman et demanda.

Une bière s'il vous plait, dans un petit verre, si possible, j'voudrais éviter de trop boire.

L'aubergiste, vous voyant entrer, vous fait un grand signe et vous indique de vous placer au comptoir. Il n y a pas beaucoup de monde aujourd'hui, puisque tout le monde s'atèle aux festivités, alors un client ! Pensez-vous bien qu'il ne le laissera pas filer, celui là. Répondant à votre commande avec un grand plaisir, l'aubergiste vous met un alcool, certes fort, dans un verre à la hauteur de votre pourboire : minuscule.

Vous le tendant, celui-ci vous demande, fort curieux de voir un tigre se balader en ville :

- Que faites-vous ici ? Il est très rare de rencontrer des Furry autre part qu'à Furrya en cette période de l'année. Vous savez, cette fête est prioritairement pour honorer votre survie. Je crois ... Enfin moi vous savez, l'Histoire.

L'aubergiste prend un verre et commence à le nettoyer, constatant avec desarroi que vous êtes le seul client de son bâtiment.

- Que faites-vous ici ? Il est très rare de rencontrer des Furry autre part qu'à Furrya en cette période de l'année. Vous savez, cette fête est prioritairement pour honorer votre survie. Je crois ... Enfin moi vous savez, l'Histoire.

Le jeune tigre regarda le fond de son verre. Furrya, le berceau de tous les furry, en particulier ceux de sa race. Son père lui avait dit tant de fois que si il vivait là bas, il ne tiendrait pas trois semaines, car les pauvres tigres faibles et non combatif se font empaler le crâne sur de très beau piquets. Il rigole et se tourna vers le barman.

Ha Ha ! Vous me croirez si je vous dit que je n'ai jamais mit les pieds à Furrya?

Il regarda un peu partout, et effectivement, il n'y avait personne aujourd'hui. Il avait du s'imaginer qu'il y avait des gens, comme il y a souvent dans les bars, des gens dont la vie était au fond d'un verre d'alcool. Son imagination lui avait jouer des tours cette fois ci.

Les affaires ont pas l'air de trop marcher aujourd'hui... Je peux faire quelque chose pour vous?

Le barman nettoie un verre et le pose avec les autres. Celui-ci vous écoute et arque un sourcil lorsque vous lui dites que vous n'avez jamais posé un pied à Furrya. Voilà qui est plutôt rare, mais après tout, c'est tout à fait possible. L'homme se retourne lorsque vous lui demandez s'il y a quelque chose à faire pour lui, et hoche la tête négativement, avant de vous répondre l'air dépité :


- Hélas non. Lors des grandes fêtes telles que celles-ci, la seule chose que l'on puisse faire c'est fermer et espérer que notre établissement ne se fera pas démolir par quelques soulards retardataires du cortège. Parce que vous savez, quand les chars défilent et quittent la ville, de très nombreux habitants le suivent. C'est une action pour soutenir la paix et l'Ordre sur le continent. Lorsque tous les cortèges sont réunis au centre du continent, là où tous les fleuves se croisent, une immense fête est alors organisée. Il y a des milliers ... que dis-je des millions de personnes ! Heureusement que cela n'arrive qu'une fois tous les quatre ans.

L'homme soupire et nettoie un nouveau verre, utilisant la pression de son robinet pour donner plus d'efficacité à son éponge, avant qu'un tilt ne lui parvienne :

- Mais dites moi, vous m'avez l'air d'un solide gaillard. Vous supportez la foule ?


Intrigué, vous l'écoutez.


- Voilà, j'ai élaboré il y a peu, la recette d'un tout nouvel hydromel au goût fabuleux ! Un hydromel au coco de Gelyscieur esseulé. Si, si ! Ils me prenaient pour un fou, à l'association des aubergistes, mais je l'ai fait ! Si je vous prête quelques menus échantillons ... Consentirez-vous à les distribuer ? Je vous paierai comme il se doit. Oh, et, l’échantillon est à dix pièces, n'oubliez pas d'extor- de fidélisez les acheteurs en leur parlant de mon auberge.

Le tigre leva les oreilles et écouta attentivement l'aubergiste qui avait une requête à lui confier.

- Voilà, j'ai élaboré il y a peu, la recette d'un tout nouvel hydromel au goût fabuleux ! Un hydromel au coco de Gelyscieur esseulé. Si, si ! Ils me prenaient pour un fou, à l'association des aubergistes, mais je l'ai fait ! Si je vous prête quelques menus échantillons ... Consentirez-vous à les distribuer ? Je vous paierai comme il se doit. Oh, et, l’échantillon est à dix pièces, n'oubliez pas d'extor- de fidélisez les acheteurs en leur parlant de mon auberge.

Ah bah, en voila un bon moyen de se faire un peu d'argent et se payer un repas et une chambre ! Et ce nouvel hydromel sonnait fort appétissant, Gadjo a toujours été un amateur d'hydromel en tout genre. Il pouvait rester des heures dans la cave de son paternel, à gouter à ses hydromels avant de finir sa nuit, bien pris par l'alcool sans être ivre mort, dans la cave, entre deux bouteille vides.

Avec grand plaisir Monsieur, passez moi tout ce qu'il faut et je fais campagne pour vous. De toute façon j'étais à la recherche d'un petit truc pour me faire de l'argent. Oh mais...

Il fouilla dans sa proche et trouvait encore dix pauvres pièces qu'il posa sur le comptoir. Il avait envie de prendre un peu de cet échantillon de cet hydromel.

Cela ne vous dérange pas que je puisse y gouter avant Monsieur l'aubergiste?

Le barman sourit et accepte vos dix pièces avec plaisir, sortant une bouteille de sa fabrication, dont il verse doucement le contenu, avant de vous le passer. L'hydromel pétille étrangement, mais ça ne peut pas être mauvais. C'est de la noix de coco après tout, rien de plus ...

Vous l'enfilez cul-sec et avez très chaud. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le mélange détonne ! Mais l'appréciant comme vous apprécieriez n'importe quel hydromel (peut-être plus, cette fois là ?), vous acquiescez avec plaisir, et suivez l'aubergiste, qui, satisfait, vous demande de le suivre dans l'arrière boutique. Celle-ci, bien que poussiéreuse, vous donne accès au sous sol de l'auberge, une gigantesque cave de distillation qui vous impressionne quelque peu. Le moins que l'on puisse dire est que cet homme sait ce qu'il fait. Dans une cage, au loin, reliée à plusieurs tubes accrochés au distillateur, un grand monstre reptilien fait de gelée, couleur coco, dont l'énergie est pompée par la machine.


- Voici un Gelyscieur coco esseulé. C'est une bête provenant de très loin, le nord du continent Innocent. Comme vous pouvez le constater, j'extrais son essence à partir de cette machine, et j'en fais un hydromel des plus délicieux ! Voici le tonneau, ainsi que le panneau de publicité. Vous porterez le tonneau sur votre dos et le poserez pour vous servir du robinet pour inviter les gens à boire. Des gobelets y sont integrés. Si vous êtes à court de gobelet, n'hesitez pas à revenir ici pour en chercher. Quand à l'argent, je vous donne ce vieux sac à bandoulières.


L'homme vous donne tout ses poids et les répartis équitablement sur votre dos, avant de vous presser vers la sortie.

- Tentez de suivre le cortège ! Non ! D'être plus rapide que lui ! Bonne chance !

Bien qu'il eu de la peine pour cette pauvre créature enfermée dans cette cage, qui paraissait bien souffrir en plus. Mais bon, la vie appartient aux plus forts...
Gadjo fut chargé de deux gros tonneaux rempli de ce bon hydromel, une pancarte et pleins de petits verres.

- Tentez de suivre le cortège ! Non ! D'être plus rapide que lui ! Bonne chance !

Gadjo se mit à courir alors vers le cortège qui s'était éloigné. Chose pas évidente, ce n'était pas un rapide. On ne peut pas être rapide quand on est un gros tigre souffrant d'embonpoint. Il se retrouva alors plein de sueur dans la foule et se mit à hurler.

Eh là ! Eh là ! Vous avez vu un peu ce soleil? Il fait chaud hein ? Et qu'est ce que nous avions besoin quand il fait chaud? De boire? Eh bien justement ! Pour dix sous, vous pouvez avoir un délicieux hydromel à la noix de coco gélifiée ! Servi à l'auberge de la Bonne Barbaque ! Venez mes amis ! Venez goûter à cette délicieuse création révolutionnaire ! Venez !

Tandis que vous proposez votre Hydromel aux passants du cortège, bien trop occupés à suivre la foule pour vous écouter, vous remonter la file avec votre baril pour promouvoir la vente de ce délicieux nectar dont vous êtes aujourd'hui le seul possesseur. Quoi de plus normal, puisque c'est vous qui le vendez ?

Plusieurs personnes, à terme, dégustent votre boisson, contre monnaie sonnante et trébuchante, et tout va bien. Le baril pèse somme toute lourd, et vous ne vous privez pas de boire un peu lorsque c'est trop difficile ... Après tout il ne peut pas le voir, alors vous ne vous gênez pas !


La journée, quoi que mouvementée, se passe sans encombres, puisque le cortège s'en va aux dehors des frontières d'Elyamundis tandis que le soleil se couche. Normalement, sortir la nuit n'est pas du tout conseillé en ces lieux hostiles, mais le cortège fait tant de bruit et de lumière que les zombies ne sortent pas.

Vous avez pour l'instant récolté 500 pièces d'or ... Vous pouvez continuer de suivre le cortège ou rentrer.

Gadjo avait les jambes lourdes et ses barils commençait à lui faire mal aux épaules en plus, il commençait à avoir faim. Il regarda un peu ce qu'il restait de ses barils qui étaient pratiquement vides. Il décida alors de faire demi tour, la bourse pleine et les verres usés.

De nouveau dans l'auberge, il posa les barriques presque vides à l'entrée et rejoignit l'aubergiste derrière son comptoir, ou il laissa tomber la bourse et ses 500 pièces d'or avec un grand sourire. C'était vraiment une bonne pub, même chez ses riches parents, Gadjo n'avait jamais eu en main une telle somme et était plutôt fier de lui. Peut être qu'il pourrait avoir une bonne carrière de marchand quand il se sera stabilisé.

Et voila, 500 pièces en monnaie sonnante et trébuchante, ils ont adoré ! Ils ont pas arrêté de se resservir et moi j'ai bien empoché les pièces, je pense que vous allez avoir un monde fou pour votre boisson Monsieur !

Il s’essuie le front. Rêvant de rejoindre maintenant un bon lit douillet après un repas chaud.

Et maintenant?

L'homme contemple avec stupéfaction la somme d'argent que vous avez déposé et s'en lèche les babines, avant de reporter son regard sur les tonneaux vides et les verres usées. Après un véritable compte d’apothicaire, l'aubergiste range la précieuse bourse dans son coffre et vous verse soixante pièces d'or pour votre travail, vous expliquant qu'il vous en aurait naturellement donné cent vingt, mais que la moitié de la somme qui aurait du vous revenir allait passer dans les frais de la chambre d’hôtel, qu'il vous autorise à réserver pour les trois prochains jours. Une des plus belles chambres, qui plus est.

Tandis que vous vous préparez à monter, fort de cette journée riche en événements, l'aubergiste vous interpelle et vous dit alors :

- J'ai vraiment apprécié votre travail aujourd'hui, et pour être tout à fait honnête, je cherchais un associé à temps partiel, capable d'exécuter certaines tâches pour moi ... Je n'avais personne à qui faire confiance jusque là, mais ...


L'homme vous sourit gentiment, tout en se servant un cocktail.

- Qu'en dites vous ? Je vous promet de l'argent et des voyages. Tant que vous le voudrez.

Gadjo rangea alors ses pièces dans sa bourse quasi vide et pu enfin savourer un bon repas et une bière bien fraiche. Cela faisait vraiment du bien après avoir passé la journée à marcher dehors et après un voyage aussi dur. Il prit plusieurs verres et plusieurs assiettes du plat du jour, une fois qu'il avait rempli son estomac comme il fallait. Le tigre s'étira et se dirigea vers sa chambre à l'étage mais...

- J'ai vraiment apprécié votre travail aujourd'hui, et pour être tout à fait honnête, je cherchais un associé à temps partiel, capable d'exécuter certaines tâches pour moi ... Je n'avais personne à qui faire confiance jusque là, mais ... Qu'en dites vous ? Je vous promet de l'argent et des voyages. Tant que vous le voudrez.

Gadjo gratta sa tête, réfléchissant à la proposition. De toute façon, voyager ne se faisait pas sans argent... Et puis... C'était le bon moyen de se trouver une nouvelle voie non?

D'accord Monsieur. Ça peut être une excellente idée dans ce cas là...

Le patron du bar sourit en entendant votre réponse positive, et se frotte les mains doucement, avant de se tourner vers sa caisse pour faire les comptes de la recette de la journée. L'homme vous tend une autre bière, cadeau de la maison, pour fêter votre entrée dans le monde dur et sinueux du travail, puis vous propose de retourner vous coucher dans votre chambre, vous expliquant que demain, vous devrez partir à l'aube pour l'aider à préparer "quelque chose".


La nuit se passe donc sans encombres, et vous vous levez le lendemain à l'aube, attisé par la forte lumière du soleil. Le cortège de la fête de la veille est passé depuis bien longtemps, et les rues sont à nouveaux calmes, et pleines de détritus colorés activement balayés par les équipes de nettoyage de rues. Tandis que vous redescendez au salon, l'homme vous observe et vous tend une liste. Il y a écrit plusieurs articles que vous devez aller chercher pour les ramener ici.


- Il ne faudra pas que cela te prenne plus que le début d'après-midi, mon grand. Je te paierai 300 pièces pour le travail fourni. En voici une bourse de 1200 pour les frais de ce que je t'ai demandé. S'il y a de la monnaie de reste, après les achats tu peux la garder.

(Fais juste un post de conclusion, même s'il est court, et on lance le prochain topic.)

Cela faisait longtemps que Gadjo avait bien dormi, surtout avec de la nourriture et de la bière plein l'estomac et sur un lit sur la terre ferme. Il avait au moins trouvé un travail régulier et l'argent ne serait plus un problème, ce qui avait facilité en plus un sommeil paisible. Il se réveilla à l'aube, complètement en forme, fit une toilette rapide et s'habilla avant de rejoindre le patron de l'auberge avec sa nonchalance habituelle. Celui ci lui fila une bourse et une liste de truc à acheter.


- Il ne faudra pas que cela te prenne plus que le début d'après-midi, mon grand. Je te paierai 300 pièces pour le travail fourni. En voici une bourse de 1200 pour les frais de ce que je t'ai demandé. S'il y a de la monnaie de reste, après les achats tu peux la garder.

Compris patron, je vais faire vite.

Décalage complet entre sa façon d'être et ses paroles, néanmoins, Gadjo était prêt pour une nouvelle commission !

[Quête principale numéro 1 - Heureux les simples d'esprits] Terminé


Vous gagnez 300 points d'expérience


Vous gagnez 100 pièces d'or


La suite, c'est par ici :
https://imaginary-rebirth.1fr1.net/t112-gadjo-astroll-quete-principale-numero-2-un-chasseur-sachant-faire-des-commissions#721