[Beorf, Dirjil, Shinitagari] Donjon - La serre aux merveilles !

A Eterna, le Butterfly's Spring bat son plein ! Autour de vous, de nombreux enfants rient et s'amusent en compagnie de leurs parents, dans les différentes attractions que constituent cette gigantesque fête foraine. Fort de vous amuser aussi, si telle est votre première préoccupation en ce jour commémoratif, vous vous baladez hasardeusement entre les manèges et les caravanes restaurants en quête de ce qui pourrait faire votre bonheur. Quand soudain, une voix vous interpelle.

"Vous ! Oui, vous ! Désirez vous faire avancer la science en laissant libre cours à vos pulsions meurtrières ? Un aventurier tel que vous ne devrait qu'avoir envie de se laisser tenter par l'attraction phare de cette fête foraine ! Que diriez vous d'entrer dans le royaume des insectes ... La serre aux merveilles ! Le principe est simple, mon ami ! Parcourez les différentes salles de la serre et venez à bout des créatures qui y seront présentes ! Si vous y parvenez, de nombreuses récompenses seront à portée de main, dont la sensation inégalée d'avoir permis à la science de faire un bond en avant !"

Se retournant brusquement lorsqu'on l'avait interpellé, Dirjil fixa de son regard furieux l'individu à l'air beaucoup trop heureux pour être autre chose qu'une sorte de hippie... Son discours était à la fois inquiétant, bien trop rempli d'emphase, ridicule, et intéressant... Marchant lentement dans sa direction, se frayant naturellement un chemin au milieu de la foule, comme si une marée humaine pareille n'avait aucun effet sur lui, qu'il était bien au delà de ces considérations, et posa une main sur l'épaule du jeune homme. Même s'il n'en semblait rien en cet instant, l'Ombre se préparait juste à dégainer et à planter sa lame juste au dessus de la ceinture pelvienne de son ennemi avant de remontre jusqu'à son plexus au moindre geste suspect.

"Ce que tu dis là m'intéresse... Que me proposes tu de faire, exactement, et pourquoi le ferais je ? J'aime autant te dire que la recherche ne m'intéresse pas, et que, si je viens, c'est bien plus pour satisfaire mes pulsions que pour rencontrer des insectes..."

Une petite ballade au milieu d'une fête de saisons, voila une activité qui me plaisait bien. Quand soudain j'entendis, une voix inconnue crier haut et fort un discours plutôt intéressant. De par ma nature d'ours curieux, je tendais l'oreille... Une serrre fantastiques ? Des insectes dangereux ? Voila quelque chose de curieux. De par ma race, les béorites, je possède le don de soumettre les petits insectes, contre évidemment une longue et lourde concentration, j'étais donc curieux de savoir quelles genre d'insectes y serait présent. Et espérait par la même occasion quelques opportunités de parfaire mes méthodes de combat et si possible trouvé une ruche avec du miel...

Un amusement inédite, pour une personne hors-norme comme moi en somme, je m'approchais donc de l'étrange type qui avait prononcé son speech, en bousculant, sans le faire exprès bien sur, quelques types à causes de ma grande stature.

Lorsque je l'eu rejoint, je vis qu'un jeune homme aux cheveux plutôt blanc avait posé son épaule sur l'annonceur et lui demandait aussi quelques éclaircissement sur sa proposition. Je m'approchais à sa suite pour enchaîné sa phrase par la mienne.

-"Insectes qui pour ma part m'intéresse, j'espère aussi qu'il y aura du miel dans votre serre."

Quelle méprisable fête foraine, de la joie, des rires, des souries. Tout cela me répugnais et me donnais envie de vomir. Ils sont tous, si gais, si heureux... je ne les aimes pas rien que pour cela... Je marchais parmit les gens de la fête foraine, traverssant des inconnus grâce à mon intangibilité faisant ainsi parcourir des frissons le long de leurs dos.

Je dégageais un certain malaise dans la foule que je percutait, ou plutot traverssait. Au loin, je vis une sorte de hippies faire un discours en mode: "Vive les fleurs et les insectes" L'humanité.. y a pas à dire... ça à vraiment touhcer le fond quand on vois des cons pareil faire pareil numéro pour arnaquer des gesn, et d'ailleurs il semblait qu'il est trouver deux pigeons. Je m'approcha, exasperer, j'avais que ça à foutre dans cette fête foraine, alors je regarda et écouta les conneries que pouvait bien baratiner, cet homme. A mon approche, son sourire s'enlaidit, la peur le saissit doucement en le parcourant tout le long de son coprs par des frissons.

Brusquement, je me matérialisa derrière lui, un regard moqueur sur lui et ses fringues affreusement trop colorer à mon gout.

-Alors, sa mord la pèche au poisson croiser pigeon ? Au lieux de faire chier à envoyer des roses sois direct et dit le principale, tu épargenra de trop faire chier ton monde avec un discour sur des insectes...

Quels redoutables cobayes que vous faites là ! L'entomologiste est très satisfait de votre présence, bien que celle du fantôme le laisse plutôt perplexe. Malgré ses changements d'attitude, il n'a pas peur de vous. Bien au contraire. Il vous trouve aimables. Aimables car vous ferez progresser ses recherches, à coup sûr ! C'est donc le cœur léger que l'homme ouvre la porte de la serre en un grand sourire, se dégageant de vos emprises comme par magie, jouant de sa grâce et de son habileté naturelle ... Ou peut-être d'autre chose !

Tandis que vous entrez, l'entomologiste décidant de ne pas vous répondre quand aux questions que vous posez, la porte se referme brutalement derrière vous. Impossible de la traverser ou de la déchiqueter. Bien qu'il ne s'agisse que d'un rideau de plastique, celui-ci semble totalement vous couper du monde extérieur.

Autour de vous, c'est comme une grande jungle. Il faut chaud, et il y a de nombreux arbres, ainsi que des buissons tout autour de vous. Des fruits de couleurs différentes pendent aux arbres. Il n y a pour l'instant aucun danger à l'horizon.

L'homme ouvrit alors la porte de sa serre, nous y entrèrent tous d'un seul pas, j'étais pour ma part curieux de savoir ce qui pourrais se trouver dans un tel lieux. Alors que mon regard ce posais sur toute ces merveilles... J'entendis la porte se refermé brutalement dans notre dos. Ma première pensé fut : "Tant mieux ca me fera plus de tranquillité pour observé les lieux." Puis : "Ah oui c'est vrai, je ne sais pas comment on ressort. La serre semblait gigantesque, je supposais qu'une sortie se trouvait au bout, j'expliquais donc mon intention aux deux inconnus dans la même situation que moi.

-Bon. Eh bien je sais pas vous, mais moi je vais avancé, profité de la visite, et si possible trouver la sortie.

Je partis droit devant nous, tout en observant les alentours touffus de cette jungle-prison.