Il n’eut pas besoin de tirer sur la laisse qu’on lui tendait. La jeune neko le suivait désormais. Encore innocente, elle ne compris pas l’allusion du Renard. Il semblait gentil, il avait un grand sourire. Miliganne croyais que c’était comme elle l’Avait crue, une maitre doux, gentil, affectueux, une utopie quoi! Elle le suivie docilement, toujours avec la même grâce, peut-être que le propriétaire du ce ranch aurais préférer une fille qui semblait moins délicate, qui aurait pu aider sur le ferme. Une chose qu’il n’avait pas à oublier, c’est que les esclaves du Chat doré étaient conçus pour ressembler à des poupées fragiles, mais former pour faire presque n’importe quel tâche. Certes, la force de Milie ne lui permettrais pas de lever les lourde botte de foin tout la journée, mais elle pourrait tout de même aider, nettoyer les stalles, donner la mouler, ou encore brosser les cheveux, mais le maitre voudrais peut-être qu’elle remplace sa femme a la maison pour lui permettre de s’occuper des autre tâche sur la ferme. Qui sait? Une chose est certaine, la jeune neko crois dure comme fer que son maitre sera gentil. Elle sera probablement désillusionner.

Sans dire un mot, la nouvelle acquisition suis son maitre, elle se permet de le détaille lorsqu’il lui fait dos, c’est un furry renard, elle se demande si sa fourrure est douce, surement chaude, contrairement à la peau de la jeune fille. D’ailleurs, cette robe ne la couvre aucunement et elle réprime un frison. Elle aimerait bien avoir une veste à ce moment, mais elle doit être belle pour le maitre.

Un employé de la place les suit pour apporter un bois contenant une nécessaire de vie pour l’esclave, des produit nettoyant, des brosse, des vêtements, des outil de toilettage et un dossier, le dossier de Miliganne, expliquant ses études, ses antécédent de santé, son pedigree, enfin, tout ça vie.

Elle avait fait des jaloux et elle en était heureuse, elle était donc très belle et désiré! Il l’apportait plus loin, à l’extérieure de la ville. Il allait vers des champs. Encore étonnant qu’avec ce look il n’ait pas apporté un cheval pour les emmener. Il faut dire que malgré sa grande éducation, rien ne l’avais préparé à s’occuper ou chevaucher des animaux telle que des ours ou des gelyscieurs. Effectivement, les chevaux étant la monture la plus courante, elle avait appris à s’occuper d’eux, mais son maitre devra lui enseigner à agir et s’occuper des animaux.

Elle écoutait son maitre sans l’interrompe et fini par acquiescés à la fin. Hésitante, elle voulait tout de même lui poser certaine question. Certes il ne lui avait pas donné la permission de parler, mais elle pouvait toujours la demander, il .tait normal qu’un être apporter dans un nouvel environnement aie des appréhensions non?

La queue de la chatte bougeait nerveusement derrière elle, battant l’aire, tandis que ses oreille formait une ligne horizontal et parallèle avec le sol.

-Maitre puis-je vous posez des questions librement?

Milie était heureuse de pouvoir partager ses inquiétude avec son maitre, d’ailleurs il avait pu voir qu’elle c’était légèrement avancer vers lui lorsqu’ils étaient rentré dans les enclos. En fait, transparente comme elle l’était, il était facile de comprendre que les animaux le rendait mal alise, elle ne les connaissait pas et ils étaient assez imposent pour la petite neko. D’ailleurs elle ne regardait plus son maitre mais surveillait les bêtes.

Le poil de la neko était dresser et ses oreille ne serait de bouger. Définitivement, elle était nerveuse. Quoi de mieux pour un maitre, propriétaire de ranch, qu’une esclave qui semble avoir peur de ses bêtes?

Comme il lui avait donné la permission de lui poser des questions, elle lui exposa le problème. Elle lui expliqua qu’elle ne savait pas exactement comment s’occuper de cette race et que sincèrement cela l’inquiétait. Elle lui demanda donc s’il allait lui enseigner d’avantage l’art de l’élevage. En fait, c’était a peut près sa seul question pour le moment. Elle devinait qu’elle ne resterait pas habiller en robe de soirée pour faire ses taches. Avait-il par conte pris cela en comte? Les vêtements qu’il lui avait été donné n’était pas des vêtements adapter au travaille manuel.

Miliganne remercia son maitre brièvement avant de s’exécuter. Rapidement, avec une grande précision, elle enleva tous les parures de se cheveux, a la dernière parure, ses cheveux couleur de coucher de soleil déferlèrent en cascade sur ses épaules, son dos, le creux de ses rein et finalement toucha ses cuise. Elle enleva ensuite la robe de façon à ne pas l’abimer. Sous cette dernière, elle ne portait qu’une petite culotte de dentelle noire. Comme sa poitrine était ferme, il était inutile de mettre un soutien-gorge. Fallait aussi spécifier qu’elle n’avait pas la poitrine la gros imposante.

Sans se cacher et sans gêne, elle enfila la tenue de travaille. Bien certainement, le maitre avait peu admiré les courbes de son acquisition puisqu’elle avait pris le temps de plier la robe de soirée et y enrober les bijoux dedans.

Enfin prête, Milie était nettement plus alise dans les vêtements de travail et cela se voyais. Un bon jean solide et une chemise de flanelle pour mieux travailler, être libre de ses mouvements et surtout, une certaine résistance aux coupures.

Milie pris la robe et les bijoux et les déposa dans la boite fournie lors de l’achat. Les esclaves avait été habitué que ses boite était une sorte de lieu priver pour eu, enfin, priver est un grand mot. C’était leur endroit où ranger leur chose, et il était personnellement responsable de l’entretien de cette boite et de sa condition.

Le tour du propriétaire fut long, plusieurs hectares à parcourir, la journée commençais à être achever. Probablement que la rousse devrait bientôt commencer le repas. Que pouvait-elle bien faire pour son maitre? Faudrait d’abord voir quels ingrédients étaient à sa disposition et pour combien elle devait faire à manger.

Son maitre lui avait tout montré et Milie avait bien tout enregistré il aurait été stupide d’arriver cher un maitre et de devoir lui servir comme excuse qu’elle s’était perdu. Elle avait donc patiemment tout observé. Quelque frison s’était bien pointer à travers la journée, effectivement, l’objet était frileux.

Lorsqu’ils avaient pénétré dans le salon, il avait été possible d’entendre les bruits caractéristiques d’une télévision qui jouait des dessins animé. Mili voyait bien une touffe de cheveux, mais ne pouvais déterminer l’âge de la personne qui était assied sur le divan qui lui faisais dos.

Le soleil avait continué sa course et d’ici quelque minute il ferait noir dehors. La maison joliment décorer comportait plusieurs chambres, une cuisine une jolie salle de bain, un bureau et bien d’autre pièce. Le maitre avait dit qu’elle dormirait dans sa chambre. Comme il n’y avait qu’un lit, elle supposa qu’elle dormirait au sol.

Milie se fit indiquer la cuisine et elle comprit rapidement qu’elle devait faire à manger. Elle commença par ouvrir chaque armoire pour voir ce qui si trouvais. Après, elle ouvrit et regarda ce qui se trouvait dans le réfrigérateur et le congélateur. Elle finit par avoir une idée de l’organisation de la pièce et elle commença à faire a manger. Ce bruit de métal se frappent entre eux si caractéristique lorsque quelqu’un commence à faire à manger pouvais parvenir aux oreilles du renard.

Milie pu entendre le bruit du poste de télé changer ainsi que le bruit de l’eau qui coule, c’était le fils du maitre. L’hybride l’avait entraperçu, cela semblait être un jeune adolescent. Ça sentait les conflits avec le parent.

Milie commençait donc à faire à manger. Comme son maitre ne lui avais pas dit pour combine de personne. Elle prit le standard qu’on lui avait enseigné ; quatre. Vite fait, une agréable odeur se fit sentir. Elle avait préparé du bœuf dans une sauce sucré, saisie dans la poêle et griller au four. Pour accompagne le tout, elle avait prévus des patates piller saupoudré de fromage rapper fin avec des légumes cuis a la vapeur et assaisonner avec des fine herbes.

Une heure plus tard, le tout était prêt et la table servies. L’adolescente alla rejoindre son maitre sans le salon pour l’en avertir. Une fois fait elle resta à coter du canapé prêt de son maitre en attendant le prochain ordre.

Je venais de comprendre, je n’étais pas la bienvenue pour la femme du maitre. Déjà en bonne esclave, je m’étais abstenue de manger en même temps que le maitre. J’avais servie tout le monde doucement. Attendant la fin du repas pour manger et ainsi ne déranger personne.

Habituer au compliment lorsque je fessais à manger, je fus surprise de la réaction de la maitresse, sursautent lors de ses éclats de voie. Mes oreille de plaquer contre mon crane et mes yeux reflétait mon incompréhension. Pourtant cette soupe était en classique de la région, fait comme on me l’avait enseigné et sans jamais dévier de la recette originale. À moins que la maitresse n’aime pas cette sorte de soupe.

Lorsque la maitresse décida de partir avec son fils, je commençais à ramasser l’emplacement où ils se trouvaient, fessant le moins de bruit possible. Que faire de toute cette nourriture? Le maitre conservait-il les restants?

Troubler, je me retenais de ne pas pleurer. On était traité en objet, mais nous avons bien des sentiments contrairement aux objets communs de la maison. Faut croire que le stress et la situation me fessais peur et me peinait. Que me préparerais la suite?

Milie ramassa rapidement la cuisine, rassurer par son maitre que tout avait été correcte. Ne voulais pas perdre tout le souper qu’elle avait fait, elle enveloppa le tout pour le mettre dans le réfrigérateur. Elle fit rapidement la vaisselle. Elle ne voulait pas faire attendre son maitre après tout, surtout pas la premier tourner, la plus importante. Laissant la vaisselle sécher a l’aire.

Elle brossa rapidement ses cheveux pour qu’il soit propre et bien placer avant de se diriger vers la chambre que son maitre avait indiqué. Milie avait faim, n’ayant pas mangé de la soirée, mais ne se plaint pas.

Laissant la cuisine bien ranger derrière elle, elle se mi a la recherche de la chambre numéro 4 après un bref tour au toilette. Bon dieux, le maitre attendait elle devait se dépêcher. Marchant rapidement. Elle finit par trouver la chambre que son maitre lui avait parlée. C’était une chambre décorée comme on le voyait souvent dans les films, des grands meubles de bois massif avec des effigies d’animaux de ferme et des peintures de champ et vallées. Son maitre était dans la pièce. Docile, Milie s’en approcha pour signaler sa présence, tout en restant silencieuse, la tête légèrement incliner vers le bas, en signe de soumission.

Arriver dans la chambre, Milie pu observer le maitre coucher sur le lit. Il fessait noir, mais elle put tout de même comprendre les gestes du maitre. La lumière fut allumée. Elle était tamiser, comme il se doit pour une chambre, ne vous arrachant pas les yeux et créant une douce ambiance. Un nouvelle ordre, enlever ses vêtement. Milie ne comprenait pas pourquoi, mais elle supposait que dans cette maison, les gens dormais nue. Très bien, si c’était ainsi.

Milie commença par déboutonner doucement sa chemise, ses fin doigts triturant chaque bouton pour les défaire de leur entrave et lui permettre d’enlever cette chemise de travaille. Une fois fait, Mili garda la veste encore quelque seconde, il fessait froid pour elle, si froid…

C’était au tour du pantalon. Doucement elle détacha le bouton et défit la fermeture éclair. Le Jean tomba de lui-même au sol laissa voir sa petit culotte de dentelle noir. Doucement, elle enleva le morceau de tissu qui cachait son intimité laissant paraitre une petite touffe rosé signe de sa maturité corporelle. Effectivement, les nekos du Chat Doré vieillissais plus vite que la moyenne, ainsi, pour eu, un 8 an équivalais a 13 ans et 13 ans a près de 16 ans. Une fois la culotte tombé, Milie enleva la veste à regret et réprima en frison.

Ainsi nue, Miliganne monta dans le lit et viens rapidement se coller contre de maitre, une façon de se réchauffer. Malgré sa naïveté, le maitre pouvait croire qu’elle s’y connaissait un peu, puisqu’elle s’était déshabillée lentement et langoureusement avec sa grâce habituelle, elle était aussi venue se coller à lui sensuellement. Mouvement commun pour la petite, mais innocent, contrairement au penser du maitre. Lorsque le maitre commença son monologue, L’hybride le regarda avec un regard interrogateur. Le message était clair, elle n’avait jamais été initier a se plaisir d’adulte.

Milie fut surprise du mouvement de son maitre. Elle ne lui imposer aucune résistance mais ne comprenais pas pourquoi il voulait qu’elle touche s son intimité. Ignorante, elle prit un air ébahis. Qu’est-ce que le maitre voulait qu’elle fasse? C’est alors qu’elle eut ses premières notions de sexualité. Elle devait le toucher et le masser pour en faire sortir quelque chose? Très bien, le veux de son maitre serait exaucer. Milie commença par masser maladroitement l’engin du maitre.

Après quelque minute, elle remarqua que l’intimité de son maitre ressemblait drôlement à un pie de vache, seul l’extrémité changeait. Pour ajouter la ressemblance, elle devait en faire sortir un liquide, comme le lait pour les pies. Cette drôle de ressemblance fit réfléchir Milie.

Lors d’une sortie à la ferme, Milie avais vus des vache laitière. Pour amuser les enfants, les maitres leur montrèrent que l’on pouvait sortir du lait par les pies. Curieux certain gamin avait essayé avec leurs bouches et avaient réussi. Alors pourquoi ne pas essayer sur cette étrange pie? Milie approcha découvrant une nouvelle odeur musquer et qui fessait battre son cœur légèrement plus vite.

Prenant le phallus a pleine bouche, Milie commença doucement a créé de la succion tout en tortillant sa langue autour de cette chaire si douce aux saveurs unique.

Milie continua a sucer la queue de son maitre espérant en faire sortir de liquide tant désirer. Comme son maitre changea de position. Miliganne de retrouvait a quatre patte les fesses plus haute que la tête à faire des mouvements de va et viens avec sa tête. La longue queue noir et fine de la neko se promenais doucement de droite a gauche dans un mouvement envoutant.

Après un certain moment, elle réussit. Le foutre sortie de se pie étrange, manquant d’étouffer la pauvre petite qui ne s’attendait pas à cette texture gluante et gélatineuse. Milie venais de prendre son souper, ces surement tout ce qu’elle aurait à manger jusqu’aux lendemains matin, ou jusqu’à son maitre lui donne la permission de manger. Bien qu’elle devinait que le maitre la laisserais manger au prochain repas, ou elle lui en touchait un mot.

S’étouffant, Milie se retira un peu pour reprendre de l’air, se redressant. Des larmes perlèrent doucement à ses yeux sous le choc, rien de traumatisant, mais seulement un réflexe. Toussant, elle finit par réussir à avaler le fameux liquide. Elle sourit à son maitre, un coulisse de sperme sur le coin de la bouche, coulisse qu’elle n’avait pas remarquer.